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lundi 17 juin 2002

Zélateur et praticien du déficit public zéro, M. Bernard Landry, vice-premier ministre du Québec, est en effet persuadé qu’on lui saura gré, le moment venu —à Ottawa, à Washington ou à Paris — d’être le meilleur élève de l’Accord de libre-échange nord-américain (Alena) en particulier, et de la mondialisation en général : "On ne jette pas des pierres sur les caïmans avant de traverser la rivière", nous rappelle-t-il en citant un proverbe haïtien.

Bernard Landry, Quebec’s deputy premier and a zealous promoter of a zero public deficit, is convinced that, when the time comes, Ottawa, Washington and Paris will give him his due as a staunch supporter of the North American Free Trade Agreement (NAFTA) in particular and globalisation in general : "One should not throw stones at the crocodiles before crossing the river," he reminds people, quoting a Haitian proverb.

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